TRIBUNE

Un sujet central tant du côté des salariés que des employeurs et de l'activité économique des territoires. 

 

Conclusion au regard des témoignages partagés : 

 

Une 𝗺𝘂𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗲́𝘁𝗮𝗹𝗲 𝗮𝗰𝗰𝗲́𝗹𝗲́𝗿𝗲́𝗲 par la période de crise sanitaire a bouleversé le monde du travail et ses "𝗿𝗲̀𝗴𝗹𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗷𝗲𝘂". 

 

Les politiques sociales régaliennes éculées ont favorisé cette bascule en faveur du salariat, en garantissant une 𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗽𝗿𝗶𝗺𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 (>Pyramide de Maslow) 

 

Pour certains, et quel que soit la CSP, le 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹  n'est actuellement qu'𝘂𝗻 𝗺𝗼𝘆𝗲𝗻 𝗱𝗲 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿 𝘀𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲, pour d'autres les attentes et les exigences s'y sont décuplés (valorisation, reconnaissance, sens, valeurs...), en échange de leur 𝗲́𝗽𝗮𝗻𝗼𝘂𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 et de fait, leur 𝗶𝗺𝗽𝗹𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻. 

 

 

L'émergence des notions de QVCT, RS(E)... démontrent aussi du 𝗿𝗲𝗽𝗼𝗿𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝗹'𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 de certaines 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲𝘀  : 

 

A l'instar de notre système d'enseignement (dit "Education" Nationale) , qui portent en compensation de l'𝗲́𝗰𝗹𝗮𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗲𝗹𝗹𝘂𝗹𝗲 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗶𝗮𝗹𝗲 et de la 𝗺𝗼𝗻𝘁𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝗶𝗻𝗱𝗶𝘃𝗶𝗱𝘂𝗮𝗹𝗶𝘀𝗺𝗲 des missions d'éducation globale (valeurs morales, civisme, suivi psychologique et neurologique...), l'𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲  se voit chargée d'assurer des 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽/𝗺𝗮𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 en interne, bien au-delà de sa𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝗹𝗲. 

 

Pour preuve, les témoignages positifs des entreprises qui : 

> portent des 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗤𝗩𝗖𝗧 𝗮𝘀𝘀𝘂𝗺𝗲́𝘀  

>𝗮𝗰𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁  leurs salariés dans leurs 𝘀𝗶𝘁𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀  

>𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝗻𝘁 𝗼𝘂 𝗿𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗥𝗛 en complétant la gestion sociale et administrative traditionnelle par des missions plus larges, par l'écoute des salariés, de leur conditions de travail, de leur bien-être professionnel, de leurs contraintes personnelles... 

 

Ainsi, au-delà de l'𝗮𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗰𝗼𝗻𝗰𝘂𝗿𝗿𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 pour renforcer son 𝗮𝘁𝘁𝗿𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗶𝘁𝗲́  et la 𝗿𝗲́𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻  de compétences, la nouvelle posture des entreprises, 𝗶𝗻𝗰𝗮𝗿𝗻𝗲́𝗲𝘀  par ses dirigeants, doit s'orienter sur une "𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻" professionnelle afin de répondre aux exigences et aux enjeux actuels, par ex. : 

>Respect des 𝗶𝗻𝗱𝗶𝘃𝗶𝗱𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 - maitrise des 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗶𝗹𝘀  et des besoins inhérents caractérisés 

>Prise en compte des 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲𝘀  personnels - flexibilité du temps /mode de travail selon les 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝗶𝗻𝘁𝗲𝘀  familiales et/ou 𝗮𝗽𝗽𝗲́𝘁𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀  personnelles 

>Garantir l'𝗲́𝗾𝘂𝗶𝘁𝗲́  dans le traitement des salariés - minimiser les 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 "𝗳𝗿𝗮𝘁𝗲𝗿𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 

>Admettre l'incidence de la "𝗯𝗶𝗲𝗻𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲" et d'une 𝗲𝗺𝗽𝗮𝘁𝗵𝗶𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲

 

Sans oublier de : 

>Définir un 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲  de travail, des 𝗿𝗲̀𝗴𝗹𝗲𝘀  

>𝗥𝗲/𝗲𝗻𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲𝗿  les dérives professionnelles et interpersonnelles 

>Partager la 𝘃𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻, l'objectif dans une 𝗱𝗲́𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲  

>Garantir la 𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗽𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗺𝗼𝗿𝗮𝗹𝗲 de ses salariés

 

En somme, un 𝗺𝗮𝗻𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 "𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗺𝗲̀𝗿𝗲 /𝗯𝗼𝗻 𝗽𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲" comme l'utilise le jargon juridique sur la partie de gestion financière devient le nouveau paradigme. 

 

Heureusement, certains n'ont pas attendu de crise pour être de "bons" managers ou chef.fe.s d'entreprises, peut-être parce que se sont aussi des 𝗩𝗔𝗟𝗘𝗨𝗥𝗦, des  𝗤𝗨𝗔𝗟𝗜𝗧𝗘𝗦 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀  - et qui sont 𝗲𝘀𝗽𝗲́𝗿𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝘃𝗼𝘀 𝗲𝗺𝗽𝗹𝗼𝘆𝗲́𝘀 - au même titre que les employeurs espèrent de leurs salariés, l'intégration de la 𝗩𝗔𝗟𝗘𝗨𝗥 𝗧𝗥𝗔𝗩𝗔𝗜𝗟, 𝗱𝘂 𝗥𝗘𝗦𝗣𝗘𝗖𝗧... 

  

Kansept22 accompagne les entreprises pour mettre en œuvre des actions dans cette vision, garantissant conjointement l'𝗮𝗺𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗲𝗿𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗤𝗩𝗖𝗧. 

 

Remarques bienvenues en commentaires 

 

#QVCT #mutationsocietale #RH #management #attractivité